Hanoi est la capitale de la République socialiste du Vietnam. Elle doit son nom de l’entourage du Fleuve Rouge (Hà : fleuve, Nội : intérieur ; Hà Nội : ville à l’intérieur du fleuve). Etendue sur une superficie de 3.324 km2, la ville compte 6.500.000 habitants.
Nommée autrefois la cité du dragon qui s’élève (Thang Long), Hanoi (ce nom lui fut donné par l’Empereur Ming Mang, en 1831) a connu de profonds changements depuis l’ouverture du pays au début de la décennie 90 du siècle dernier. L’urbanisation trop rapide et parfois mal gérée a quelque peu transformé le visage poétique de cette ville de charme, malgré les efforts des pouvoirs publics dans la conservation des quartiers anciens. De ce mariage difficilement arrangé entre passé et présent, entre ancienneté et modernité est née une nouvelle cité d’une extrême diversité. Il y a en Hanoi une ville des mythes, avec ses temples et pagodes, une ville coloniale brillante et orgueilleuse, avec ses villas entourées de verdure, une ville des notabilités, une ville marchande en ses ruelles, une ville littéraire sur ses marges, une ville rêveuse devant le miroir de ses lacs, une ville villageoise dans le mode de vie de ses habitants.
Nommée autrefois la cité du dragon qui s’élève (Thang Long), Hanoi (ce nom lui fut donné par l’Empereur Ming Mang, en 1831) a connu de profonds changements depuis l’ouverture du pays au début de la décennie 90 du siècle dernier. L’urbanisation trop rapide et parfois mal gérée a quelque peu transformé le visage poétique de cette ville de charme, malgré les efforts des pouvoirs publics dans la conservation des quartiers anciens. De ce mariage difficilement arrangé entre passé et présent, entre ancienneté et modernité est née une nouvelle cité d’une extrême diversité. Il y a en Hanoi une ville des mythes, avec ses temples et pagodes, une ville coloniale brillante et orgueilleuse, avec ses villas entourées de verdure, une ville des notabilités, une ville marchande en ses ruelles, une ville littéraire sur ses marges, une ville rêveuse devant le miroir de ses lacs, une ville villageoise dans le mode de vie de ses habitants.
Palais, pagodes, maisons coloniales, bâtiments d’inspiration soviétique: l’histoire de Hanoi, jusqu’à la plus récente et la plus douloureuse, se déroule entre Asie et Occident. Longtemps sous la tutelle de la Chine, la "cité du dragon qui s’élève" prit son essor à partir de 1010. Au fil des siècles et des dynasties, elle devient une véritable cité impériale et connaît son âge d’or au 15ème siècle, sous la dynastie des Le, qui marque l’apogée du confucianisme.
Lettrés et mandarins animent alors une cour fastueuse dont les dépenses enrichissent la cité civile, tandis que les "académiciens" de la Forêts de pinceaux répandent sa renommée au-delà des frontières du pays. Malgré les révolutions de palais qui s’y succèdent, la métropole du Tonkin impressionne les premiers voyageurs occidentaux qui débarquent sur les rives du Fleuve rouge au 17ème siècle. Désormais Hanoi est la "cité des trente-six rues", la ville des marchands et des artisans, celle des joailliers, des tisseurs de soie, des fabricants de laque, de papier et de tambours. Elle perd son statut de capitale au début du 19ème siècle et, paradoxalement, ne le retrouve qu’après être tombé aux mains des français. Pendant un long demi-siècle, elle est le coeur de l’Indochine. De ce passé colonial Hanoi a gardé de grandioses édifices publics et d’innombrables villas qui, à l’heure de la République socialiste du Vietnam, font désormais partie de son patrimoine à côté de ses "villages", de ses phuong ou du temple de la Littérature.
Dans le tourisme, Hanoi est un site incontournable quand on voyage au Vietnam. Contactez nous pour explorer mieux notre capitale.